Quand tu navigues sur les
mers de la vie
Balloté par les vagues de la
jeunesse
Le cœur brûlant de fièvre et
la tête pleine,
Souviens-toi.
Quand tu avances au gré des
vents
Ivre de vie et d’amour
Quand la bouche ouverte, tu
aspires l’air à pleins poumons
Souviens-toi.
Des nuages s’annoncent, la
tempête se prépare,
Les éléments vont entrer en
furie
Et l’immensité de cette mer
qui te fascinait te sera hostile
Mais toi, souviens-toi.
Souviens-toi pendant tes
moments de lucidité,
Quand le vent ne souffle pas
et que tes voiles pendent
Quand tu n’es pas tourné
vers d’autres horizons
Souvient-toi que tu es
un homme
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