Par un matin où de saison
sèche,
Alors que l’harmattan forçait
chacun à garder son terrier,
Le chacal et son compère la
mangouste, poussé par la faim
S’engagèrent dans une ronde
dans la brousse,
Cherchant chacun quelque
nourriture pour calmer sa faim.
Nos amis virent un nid de
fourmis
Et de dépit pour cette quête
infructueuse,
Ils donnèrent de concert
quelques coups de pattes
Pour calmer leur colère.
Bientôt les fourmis
envahirent tout
Et la toison de nos amis en
furent recouverte.
Le chacal et la mangouste se
roulèrent par terre
Et n’eurent finalement leur
salut que dans une fuite à mille lieux de là.
Par la suite, pour expliquer
leur mésaventure,
Ils dirent que la colonie n’était
pas contente de sa reine.
On trouve toujours des
raisons pour expliquer pour expliquer ses bêtises ;
Pour s’en rendre compte il suffit
de regarder autour de nous
L’Assyrie et la Cyrénaïque
en sont des signes.
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